lundi, mai 09, 2005

Aux grands maux...

...les souffrances atroces.

Je ne sais pas si vous imaginez comme c'est compliqué de vendre une voiture.
Si, tiens, je sais : vous n'imaginez pas.

Alors que bon, avant, quand y'avait les chevals (hannn, vous connaissez la blague de la brune et de la blonde qui voient des chevals ? Alors bon, c'est une brune et une blon... Quoi "ma gueule" ?).
Bon, alors avant quand y'avait les chevals, le croquant du coin qu'avait son bourrin qui commençait à tanguer dangereusement, bah il se posait pas de question.
Pan, un bon coup de 12 en travers du groin (on dit bien groin pour les chevals, hein ?) et ça faisait à bouffer pour tout le monde. Evidemment, c'était un peu raide à mâcher cette vieille carne, mais vous savez en ce temps là on ne faisait pas la fine bouche, on était déjà bien content d'avoir quelque chose dans sa gamelle, alors tu finis ta purée et tu discutes pas, merde !
Du coup, vu qu'on avait moins de frais de bouche, vu qu'on mangeait le grisgris, qu'il était meugnon quand il était petit à galoper comme un foufou dans les prés (tu t'rappelles ?), bah on pouvait économiser pour s'acheter un nouveau bourrin.

Le truc chiant avec les chevals fiscals (hannn, vous connaissez la blagu... heuu, non.), c'est qu'à bouffer, c'est vraiment, mais alors vraiment très raide. Moi j'ai pas essayé, mais bon je connais un type qui a voulu bouffer sa voiture pour économiser, tout ça, bah le lendemain il était mort.
Si.
Véridique.
N'allez pas croire que je vous raconte des histoires, hein.
Bon, ok, à part celle avec la blonde, mais ma gueule.

C'est à ce moment là que je repense à l'annonce que je viens de passer dans la centrale.
90 euros.
Ah les...
Le seul truc qui me vient à l'esprit -si je puis dire- là maintenant, c'est que ça me fait bien mal au cul. (Eloignez les enfants du poste, au fait...)

Bon, en gros, si vous avez très faim, faites moi signe.

Je vous souhaite le bonjour.

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